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Le duduk, la voix d’un peuple

La musique que nous livre Lévon Minassian n’appartient plus à ce que l’on appelle le folklore, musée des âmes mortes et ressuscitées, ni à un espace géographique délimité qu’on appelle un pays, mais à cette sphère hors du temps et de la durée, où l’âme a besoin de se prolonger pour découvrir qu’elle en a encore une.

Sources

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Après le succès de « the doudouk beyond borders », Lévon Minassian et Armand Amar se retrouvent pour revisiter le répertoire traditionnel arménien à leur manière, en y associant de nombreux solistes ainsi qu’un orchestre symphonique. Une musique d’une beauté rare, pour un film imaginaire…

Le duduk. simplicité. Authenticité. L’expression de la plainte et de la douleur d’un peuple, mêlés d’amour et de joie. L’émotion même. Un cadeau du ciel !